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La mécanique des orgues


On appelle mécanique, l'ensemble des pièces qui relient les touches des claviers aux soupapes, tant pour les claviers manuels que pour le pédalier, et qui à la demande, accouplent les claviers entre eux.


La mécanique est très complexe dans les orgues importants. Le nombre de pièces mises en mouvement étant élevé, il peut en résulter d'avoir à fournir des efforts pénibles sur les claviers, surtout si l'on tire beaucoup de jeux, grands consommateurs de vent. La précision et la subtilité du toucher de l'organiste peuvent en souffrir.

Sans entrer dans le détail des inventions ingénieuses du 19ème siècle pour diminuer la fermeté des claviers accouplés, citons la machine Barker qui répond à cet objectif.

Mais les orgues mécaniques modernes n'en ont pas besoin, ils ne sont pas durs à jouer, même claviers accouplés, si les pièces mécaniques sont légères et de faible inertie (utilisation d'alliages légers, titane, composites, là où le bois et les métaux ordinaires seraient trop gros et trop lourds, et de soupapes à pré-décollement ou à double mouvement) et si la pression du vent n'est pas trop élevée.


Notons au passage qu'Yves Sévère et quelques-uns de ses anciens collaborateurs sont des champions en matière de mécanique d'orgue. C'est le premier à avoir mis au point en 1978, ce qui restait alors une légende de facture d'orgue, une soupape à décollement variable permettant l'expressivité du toucher.

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